- Academie de Saint Anselme - Nouvelle Serie - 01/01/2003
Bibliographie 455 Mademoiselle Laura Ghiosso doit terminer sa thèse de doctorat, qui porte sur les années 1656-1658, avant le mois d'octobre 2003. Ainsi toute la correspondance que Dom Bailly a envoyée de Paris et Rome à Turin va ètre accessible à un public plus vaste. Il s'agir clone maintenant d'entamer la deuxième partie de cette entreprise qui vise à publier les lettres écrites par Mgr Bailly durant son long episcopat. Ce travail a été commencé par Mme Giorgia Puttero qui a déjà transcrit les lettres des années 1659- 1661, qu'elle est en train de com– menter. Cette jeune Dame a eu du courage et du cran. Elle est partie à la grace de Dieu, sans garanties et sans filet de sauvetage. Toutefois, je ne peux taire, à ce propos, un fait important. Encore une fois, l'Aca– démie Saint-Anselme est venue à notre secours, par une aide financiè– re très généreuse et importante qui nous a permis de poser une deman– de pour obtenir un «Assegno di ricerca cofinanziato>>, de la durée de deux ans, de la part du Ministère des Universités et de la Recherche. Cela a été le salut. Que l'Académie Saint-Anselme en soit remerciée de tout cceur dans les personnes de son Président, Mgr Albert-Marie Careg– gio, de son Vice-Président, M. le Professeur Pierre-Georges Thiébat, de tous les membres du Bureau et de tous ceux qui ont soutenu ce projet. Cette mmanve a été traversée, comme il se doit, par certains de mes Collègues et, à la première dis– tribution de ces subsides, la deman– de que j'avais présentée l'été dernier a été la première des exclues: rnince s~tisfaction! J'ai eu plus de chances dans la deuxième distribution de ces fonds et maintenant il faut seule– ment faire les comptes avec les len– teurs bureaucratiques, mais je suis assuré de pouvoir compter sur un subside satisfaisant. Bien évidem– ment, sans l'apport de l'Académie Saint-Anselme je n'aurais jamais pu rien obtenir. Entre-temps, un autre cher– cheur, Mme Antonella Amatuzzi a récidivé elle aussi, en voulant bien s'oecuper des années 1662-1664 et je ne désespère pas de trouver d'autres personnes de bonne volon– té pour la transcription et le com– mentaire des quelques cent cin– quante lettres qui restent à publier. Maintenant il s'agir de s'intéresser à des textes qui ont trait, presque exclusivement, à l'histoire du diocè– se et du Duché d'Aoste. Il est clone tout nature! que je fasse appel, en premier lieu, à des chercheurs val– dòtains. Je suis sur qu'il y en a et d'habiles, qui pourraient se joindre à notre perite équipe pour conclure, dignement et rapidement, cette entreprise éditoriale. En effet, après les cinq volumes déjà publiés et les quatre qui sont en cours d'élabora– tion, il faut tabler encore au moins
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=