- Academie de Saint Anselme - Nouvelle Serie - 01/01/2012

« CHÈRE SCEUR EN }ESUS-CHRIST » : LEITRES DE L'ABBÉ TRÈVES A CAROLINE Roux La sa:ur de Pierre, Marie, se dévoue-t-elle de son mieux pour les a:uvres parois– siales. À Chessan, fait (sic) bien courage à Letizia de Joseph. Salue-la pour moi. Tous mes saluts très chrétiens à toi et à votre famille. Ton compatriote dévoué, J. Trèves, curé. N.B. : à la première occasion, salue bien mon frère Salomon à Saint-Vincent pour mo l. IX À la hate t Aoste, ce 17 septembre 1939 Chère compatriote, Je viens justement de recevoir en ce moment à Aoste meme à 5 heures du soir de ce mardi ton exprès daté de Sommarèse, le 14 courant. ]' avais cependant reçu antérieurement la réponse de notre cher Ferdinand datée du 8 septembre mais impostée (sic) à Challant-Saint-Anselme le 13 courant. Sans doute j'aurais préféré que l'annonce fùt donnée à votre cher curé de vive voix, car c'était tout plus indiqué que par lettre. Et pour cela, s'il n'avait pas été absent, c'était à M' le curé Péaquin à le faire, étant là tout à coté. Lui ne le pouvait point. ]'ai écrit à M'le curé Berruquier pour l'en prévenir de mon mieux de sorte que si la poste est exacte je compte qu'il aura reçu ma lettre ce mardi matin soit à travers ce jour meme. Mais, certes, Caroline, il est de toute nécessité que vous ou Ferdinand (du mo– ment que M' le curé Péaquin est absent) vous vous rendiez auprès de M' le curé pour tous les détails afìn de bien combiner le tout avec lui. Dimanche j'ai écrit à M'le professeur abbé Féa pour la chappe (sic) bianche, si possible : je suis passé ce mardi pour le voir au Grand Séminaire. Il était malheureuse– ment absent. M' le professeur abbé Berruquier absent aussi. Je l'ai prié par lettre d'écrire à Ferdinand pour la monture si la maman en a besoin. Grace à Dieu, la présence de Ms' Stevenin pour les conférences et le sermon à la messe est assurée. Je viens de chez lui. Nous partirons ensemble d'Aoste par le train de 4 heures du soir, samedi. J'espère que l'on se verra à Émarèse si ce n'est déjà samedi soir eh bien ! di– manche matin. Vous avez bien travaillé et le Seigneur a béni votre travail. Ayons bonne confìance que la fete aille bien. 183

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