- Academie de Saint Anselme - Nouvelle Serie - 01/01/2012

]OSEPH-Cl!sAR PERRIN rendre droit chez mon neveu Basile. Je ne pouvais plus marcher : jambes et reins ne me faisaient plus service. Mon premier travail chez lui à été de me coucher étendu sur le lit durant Yz heure pour me reposer. Voilà pourquoi je n'ai fait le tour accoutumé à Lonjon [?], à mon regret, parce que j'étais dans l'impossibilité de le faire. Mon Dieu! dans ces conditions-là, je crains d'avoir donné trop peu satisfaction au groupe intervenu, malgré ma sincère bonne volonté. Mais j'ai entière confìance à la Sainte Famille qui, une fois que nous, nous avons fait ce que nous pouvons, touche elle-meme les esprits et les creurs ! Courage et confìance, toujours, Caroline, Dieu et la Sainte Famille sont toujours avec nous quand nous travaillons pro Sanctuaire, pro apostolat pour la Famille, car ils veulent le sanctuaire d'Érésa et nous Émarésots les beaux premiers nous en avons le plus grand et le plus urgent besoin. Encore une fois, merci d'avoir amené la bonne institutrice Dialley. J' en ai été bien content. Salue-la et remercie-la bien de ma part. Qu'elle ait bien la bonté, si possible, de passer en lecture son « Con la Madonna » à telles personnes sures de sa connaissance à qui il pourrait etre agréable et faire du bien. À Sommarèse età Émarèse en général j'aimerais fort que la plupart cles familles se procurent la satisfaction de le lire. De tous céìtés, on loue, goute et apprécie beaucoup ce livre tout spécialement bon et beau et encourageant, de sorte que le vénéré Père Anselme parsa vertu extraordinaire et héroi"que relève partout notre pauvre petit Pays et en devient le premier bienfaiteur, du haut du Ciel. Rappelons toujours à tous qu'il est le premier promoteur du sanc– tuaire remplacé à nos yeux ici-bas par le zélé et courageux Comité Promoteur. Oui, cela, on ne le répètera et publiera jamais de trop. Moi, dorénavant, si Dieu m'accorde de pouvoir faire encore quelque chose pour ce Sanctuaire béni et chéri (à l'intention personnelle spéciale d'obtenir de Jésus, Marie, Joseph la grande grace, celle de faire une bonne mort), ce sera toujours et simplement comme petit membre de ce Comité, son simple délégué spécial pour ce qui est de l'achat de l'emplacement et d'encourager mes compatriotes émarésots à faire volontiers- avec foi et amour, joie et honneur -les corvées qui se présenteront. 3° Oui, Caroline, expose rondement le cas soit les paroles (inou"ies en vérité !) dites par M' le professeur Gros - là publiquement - par rapport à Émarèse, afìn que les mères sentent la nécessité de se dévouer elles et leurs familles pour le Sanctuaire encore pour relever leur honneur, celui de leur famille et de leurs enfants et de la pa– roisse entière et de le relever magnifìquement par une grace incomparable de la Sainte Famille qui veut nous consoler, nous relever et tirer divinement le bien du mal. Mais encore une fois, il faut travailler à coopérer à certe grace extraordinaire [manque la fin de la lettre]. P.S. D'après tes renseignements j'ai fait visite à Érésa à Trèves Émilie. 192

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