- Academie de Saint Anselme - Nouvelle Serie - 01/01/2013

LE POESIE RITROVATE DI FERDINAND FENOIL NEL CONTESTO DELLA SUA PRODUZIONE LETTERARIA Recule m'a-t-on dit, le paresseux jamais N'aura de place à nos banquets. Et, le noir chagrin dans l'ame, Je vis la pauvre femme Lentement s'acheminer Vers son foyer. Elle fait quelques pas, puis demeure immobile... Qu'est-ce qui se passe dans ce cceur agité? Je respecte, ò douleur! ton asile sacré. Mais bientòt je lavis d'un ceil calme et tranquille Arrèter ses regards sur un nouveau palais Qui vient s'élever par les dons d'un Français 1 • Sur ses lèvres alors un céleste sourire Se balança, Semblable aux roses de Palmyre Son front soudain se colora. Ainsi la vierge au pur visage En retrouvant l' aimé qu' elle croyait perdu I.:accueille avec transport comme aux feux du jeune age Et lui serrant la main l'arnène en son village Pour ne le quitter plus. * È la prima delle due poesie sul Rifugio dei Poveri di Fenoil, pubblicate posrume, senza nota imrodurriva, in occasione dell'inaugurazione del monumemo al fondarore il 29 otrobre 1889, precedute dali'Erqttisse bio– graphiqtte du R. d Père Laurent. Lì, nella prefazione Au lecteur si precisa : « Bien que ces poésies remomem à une époque déjà éloignée, leur publicarion ne pourrait erre plus opporrune. Elies concourrom à rehausser l'éclat de la fete qu'on célèbre, à fixer toujours mieux la réputation littéraire du regretté abbé Fenoil età momrer une fois de plus la profonde amitié qui unissait emre eux le jeune poète et le grand orateur valdòtain, deux cceurs d'age bien différem mais brulams d'une ardeur égale pour l'amour de leur pays ». Labbé Fenoil era staro fino alla morte presideme del Comitato costituitosi ad Aosta per l'erezione del monumemo, commissionaro allo scultore torinese Leonardo Bisrolfi. Il benemerito francese che con la sua generosa donazione rese possibile la costruzione del Refuge impegnò il père Laurem a non rivelare il suo nome, che rimase, come si legge nell' Esquisse biographique, << caché sous d'inviolables mystères ». 183