BASA

- 21 - l'hospice et de ses environs , notre coll ègirc désigne les endroits où il croit pl us opportun de .faire des fouilles; ce court essai sera, on l'e~père, suivi d'une étude phrn .<.kta illée, surtout lorsque cle nouvelles excavations auront vérine ou rectifié les prernïères conjectures. M. le Chanoine llerard fait à l'assemblée un rapport drconstancié sur des tombes romaines découvertes, récemment, au faubourg S. Genis d'Aoste; leur forme., leurs diverses orientations, les tuiles à r ebords ·dont elles sont faites, les sigles d.es briques, t out pro·uve qu'elles sont romaines et qu 'e ll es datent du haut-empire; il est aussi très-probable que le terrain , dans le– quel on les a trouvé<ts, étai! le lieu destiné à la sépulture des pauvres ou des esclaves. l\1 . l'abbé Laurent continua et termine son flislorique du colldgc royal de S. Bcnigne d'Aos te. En 182!, Monsei gr. De la Palme ouvre, au grand séminaire, un pensionnat on pe(it séminaire . Quelques années après (i82ü), Monse ig.r Agodino, son successeur, annexe cet établissement au collége, et il le fait, de plus, approuver par le magistrat de la Réforme. Enfin Monseigneur Jourdain, un des prélats qui, par son zèle et son activité, a le plus contribué à répandre, dans ce duché, les bienfaits de l'instruction , demande les Jésuites à Cbarles-Albel't. Ce sou– verain acquiesce à cette demande, et, par un billet royal du 51 mai 1854, il confie à ces Pères la direction d n collége d'Aoste . Après avoir enseigné , à la satisfaction puhlü1ue, et fait pros-

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