BASA

- 38 - « près de la croix qui sert . de limites eutre la « Savoie et le Piémont , le voyageur s'arrête , « i~re d' une do\1Ce émotion, au premier aspect « de l'Italie. Là, milJe riantes !mages, mill e « glorieux souve~irs viennent l'assaillir, - à la « seule id ~e !lè ce pays enchanteur, .berceau des « arts, du génie, etc ..... ~. » ' Le même éc:rivain fu~ émerveillé de la fertilité de nos terres, de la var!él~ de ses prodtJctions, du luxe avec lequel nos .vignes so_nt meu])lées, et de la bonté de la température. Ces sentiments ~ . . - ' / ' • t ont été éprouvés par bien d'au~res étrangers, qtü se plaignent de ce que le Val d'Aost_~ n ' est pâs assez connu. Combien de fois n'a-ton pas dit, qu'il 'vaut, seul, toute. la ~uisse? Un per~on.nage. distingué qui a voyagé non seulement en Italie, mais encore au delà de la mer, sur les côtes d-e l'Afrique, en Egypte et dans l'Asie m'a dit un jour en allant au Grand Saint Bernard, au mois d;aoùt, il y-a quelques années, Je rùti vu nulle part comme ièi, une terre dejardin, q,llant aux pieds des gla.cicrs. Que d'histo~iens ont vanté les richesses naturelles de ~otr<t duché ! Nous avons ici l'eéJ.u potable très-b,onne ; diff~rentes eaux minérales et thérm,al,es_, qui sont , pour di– verses maladies' préférables à tant ,d'autres de ! _, • _, _, . , • nations étrangères ., d'après le tableau compa- ratif qu'.en fit le docteur Bru'n9_en 1817 (l). : Qu,e · ?e guérisons extraordjnaire~ n'ont-~ lles t • (1,) On peut aussi citer les docteui;s Ruffin~Jli , Mollo, Giova- nc tli, Zacchero, etc. · ' · - ·.. ·· · · - ·

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