BASA

- 7.tl - « freuse image de la vj.olence, tandis que le << dérèglement se p r ésente à eux sous une fi– « gure agréable et avec les apparences de la << liberté, tout est perdu, vous travaillez en << vain. La contrai nte imposée à un enfant dans << ses devoirs de chré tie n fera tourner infailli– << blemeut, pou r lu i la foi en un langage faux, <c la piété en de s forn1 alités odieuses, la reli 4 c< gion en un joug d 'nypocrisie. << Cette doctrine ne nuit en rien à la fermeté <c nécessaire dans l'éducation, car la feri11eté << n'est pas la violence, et rien n'est plus fer– <c me que ce qui est doux, tandis que rien << n'est plus faible que ce qui est violent. (Le « Surveillant dans un collcge catholique, pa1· « le R. P. de Damas de la Compagnie de Jesus <c Part. IV, chap. 11) ». Nos Evêques cherchèrent à remédier à ce mal. Monse igneur de La Palme, premier évêque de ce diocèse après la restauration, commença la deuxième année de son épiscopat, 1820, à fon– der un pe t it séminaire dont il confia la direction au P. Besson, alors aumônier de ce prélat, main– tenant Père spiritue1 à la résidence de N. D. 1',ourvièi·es à Lyon. Dans ce but cet Evêque fit un appel au cl e rgé qui y répondit avec beaucoup de générosilé (tG). Quelques années plns tard l82G, Monse igneur Agodino secondé par Monseigneur Vares ini, alors chanoine de la cathédrale d'Aoste, et Préfet des études, annexa, d'accord avec les administrateurs du Collége, le petit séminaire

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