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_·92 - tlii , manurene ndi non habent cosquc prop!crca a studiis hu– jusmodi revocanl, bac commo– dilate addu cli eosdem filios suos in ipso Coll cgio erudiri cura– renl , di vinusque cultus exi nd e in eadcm ecclesia in quo raro mi ,s;:c celcbrantur, non leve ex missis qn;:c in ibi quolidie re– cilarenlur ac aliorum divinorum offi cio rum Dominicis cl aJiis fcs– tivis di ehu s i11ibi recilandorum celcbrnlionr reciperelin cremen– lum . Quarc pro parle Barlho– Jomaci Episcopi acCommunitalis cl hominum praediclorum asse– renlium fructus, reddi lu s, et provenlns dicli prioralus et illi forsan annexorum centum dnca– torum sirnilinm secundum com– munem estimalioncm valorem annc cum non excedere, nobis fuit humiliter supplicatum qua– lenus eis in prC'miss is opporlu11e providere de heni gn itale apos– tolica dignaremur. Nos igitur qui dudum inter alia \'Oluimus quod semper in unionibus commissio llerd ad parles vocalis quorum interest. Bartholomacum Episcopum et singulares personas communi– lalis et hominurn hujusmodi a quibusvi s e:;comrnunicalionis , suspensionis el inlercticli, aliis que ecclesiasticis senlenliis, cen– suris cl pœnis, a jure vPI ah hominc quavis occasione vcl causa Jatis, si quibus quomodo libet innodali exislunt., atl cf– feclum prœsenlium dumtaxal consequendum, harum serie ab– solventes cl ahsolu!os fore cen~ doute, au jugement de la saine raison.qu 'on aurait pourvu d'une manière très-avantageuse à un e bonne et sainte éd ucation de la jeun esse. laquell e ne serait pas formée avec moins de sollici– tude a la pi été qu'à l'élude des lettres humaines; el plusieurs habitants lanl de celle ville que de tout Je Duché de Savoie qui n'ayant pas les moyens d'entre– tenir leurs enfants dans les pro– vinces éloi gnées , pour y fairP, leurs cours d'é tud e, leur font abandonner la carrière des let– tres, auraient soin de les faire instruire dans ce collége de leur pays, encouragés qu' ils seraient par cette facilité , que le culte divin lui-même rec evrait un nou– vel accrtiissement dans cette église où se célèbrent actuelle– ment peu de messes , ensuite de celles qui s'y diraient Lou s les jours, cl des autres offices divins qui y auraient li eu tou s les dimanches cl les jours de fèles. C'est pourquoi on nous a humhlem r nt supplié de la parl de l'Evèque Barlhelemi, de la communauté el des habitants de la ville d' Aosl<~ lesquels as– surent que les rentes, les fonds et les revenus du prieuré sus– nommé el des propriétés qui peuvent y être ann1·xées n'ex– crdent pas , selon l'opinion pu– blique la valeur de ccnl ducats, comme plus haut , de dai gnet· dans notre apostolique bienv ril– lance pourvoir d'une manière opportune au sujet exposé. Nous donc qui dès longtemps