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~ 16 - « fi cil e. Il faut pre ndre le cliem irl de Grauzon . « Parvenu au chalet:[ d'Arvilli ères, on J)Cnt y « monter en prenant l 'arrê te entre Grauzon e t « Urtier, et on y arrive dans deux h eures e t « demie effviron . C' est un des plus beaux points « de vue de toutes les Alpes, et les touristes n e « se repentiront certain ~ment pas d' avoir fait (< cettei ascension dans le t emps con venable. >·> M. l' abbé Guichardaz , curé de S. Nicol as , offre à la Société un mémoire sur quelqn es m aison s seigneurial es du haut Vald 'Aoste, dans l 'a~1cicn mandement de Villeneuve. Enfin M. le curé de Gressan lit, en langue hébraïque, une prière demandant à Dieu qu ' i 1 veuille répandre ses bénédictions sur le pon tife vénéré, qui a fondé la Soci été académique, sur tous Jes~membres:qui la composent et s nr l' ai– mable étranger qui travaille avec un si n obl e dévouement à l ' histoire·.:de notre pays . S!iance du 13 occob1·e. ·;. JW. le chevalier Gal, président de la S ociétc~ , lit une lettre que 1'1.lle Chev. de Longperrier, membre de l'Institut de France, conservateur des antiques du Louvre , l ni (a adressée sm· quelques monnaies trouvées à Aoste. Le savant numismate affirme que ces monnai es ont élé frappées par~ les Salasses. Si l'abondance des matières ne l ' en avait empêché , il aur a it déjà terminé un m émoire qu ' il se inopose de 1rn Jjlirr