BASA
-8- 1286. Elles énumèrent toutes deux les biens appa.rtenants à la maison du Grand-St-Bernard, et elles y comprennent ceux de saint Bénigne d'Aoste. Plusieurs autres documents, actes de recon– naissance, ainsi que les redevances <lu Collége, prouvent qu'après les Bénédictins, l'établisse– ment a été possédé, pour le moins, pendant quatre siècles, d'abord comme simple bénéfice, ensuite, à titre <le commende, par les religieux du Saint– Bernard (7). Il nous reste de plus les noms de i>lusieurs prieurs commendataires: le plus an– cien est Gualtérius, le dernier est Jean Geoffroy Ginod, Evêque, Seigneur de Belley et rédac– teur dn Coutumier d'Aoste. Il était aussi Con– seiller d'Etat, Orateur de Son Altesse le Duc Charles-Emmanuel I, et Sénateur <le Savoie (8). , <&'rection bu <!t'oUégc ·b'2lostc. Amie et promotrice de l'éducation, <lès sa naissance l'Église en avait senti le besoin, et elle avait travaillé à la répandre. Réunie en concile à Trente , elle venait de donner une nouvelle impulsion à l'instruction publique , en ordonnant J'érection des séminaires et des col -
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