BASA

- 12 - sous le nom de Congrégation de Notre-Dame, pour l'instruction des filles. Ces deux congr é-' gations ont eu pendant quelques an nées troi s maisons dans le Duché d'Aoste ; deux d' hommes, à Aoste, et à Verrès; une de femmes, à Aoste. Ces religieuses s'établirent chez nous, en HH5, et y ont demeuré jusqu'à !a révolution fran– çaise, c'est-à-dire, jusque ve rs l'an 1800. Les Chanoines réguliers, dits de Notre Sauveur, commencèrent à posséder Verrès en 1647, et ils s'y maintinrent jusqu ' en 1717, époque où ils furent obligés de céder la place au Prévôt de Challant, et à ses notP:eaux Chanoines régu – liers. Après l'offre (le la direction du Collége faite aux Chanoines régul ie rs de Notre Sauveur, par les administra leurs de cette mai son; des reli– gieux se rendirent de Lunéville et de Pont– à-Mousson {:-, dans notre cité, pour y enseigner provisoirement , jusqu ' à ce qu ' on eùt r empli toutes les formalités qu'exi geait une acceptation légale. L'année suivante, W juillet 1644, Mme Ja Duchesse royale Christine de Fran ce, r égente des États de son fils Ch a rles-Emmanu e l II, aya nt donné son consentement , on dres sa l'ac te au– thentique par lequel les Chan oines r éguliers de * Les Chanoines régul iers de Notre Sauveur avait un novi– ciat à Lunéville, el un scolasticat à Ponl-à-1\lousson . Il y avait aussi, dans celle ville, un e Uni~crsilé diri gee par les P. P. Jésuites.

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