BASA
- il' - Quelques années après, le Hevù Archidia cre Ribitel René , Vicaire-généra l du diocèse, cou– ronna ces travaux par la cr éation de deux n ou– velles chaires, celles de Philosoph ie et de Théo– logie . Ce digne ecc lésiasti<1ue qui a si bien mérité de notre Collége, avait, en Hfüii, par une première fonda tion, chargé les Chanoines <le St Jaci[uème, de l'en seign emen t de la Théo– logie ; mais ces reli gie ux renoncèrent bientôt à cette fonction -x-. · L'an 1702, grâce à la libéralité de Monseigneur Alexandre Lambert, et au zèle actif de son successeur ; Mgneur François - Amédée Milli et d'Arvillars, vit s'éri ger le Séminaire diocésa in. Ce prélat annexa cet établissement au Collége, et en remit le so in aux Chanoines de N. S. Don– nant alors un e hase plus lar ge à sa fondation, !'Archidiacre Ri bitel fit construire pour les élè– ves du sanctuaire, toute cette aile de bâtiment qui lon ge le fond de la cour, et s'étend vers le j ardin, .du côté de l'Orient. C'est ce qu ' on appelle encore anjoun\'irni le Vieux Seminaire. Bien plus, consacran t à ce but toute sa fortune, il ass'ura, par un acte c.tu IG aoi'tt 1707, un revenu suffisant po·ur l'entreti en d'un profes– seur de Philosophie, et il s~ en gagea en qualité • Les Chanoines du Grand-St-Bernard possédaient le Prieuré de St Jacques, vulgairement St Jacquème, si Lué à Aoste. C'é laiL la résidence ordinaire des Prévôts du Saint-Bernard . Monseigneur de Sales l'acheta plus lard. pour y placer le Séminaire. 2
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