BASA
- 18 - tl'l~conome Sy110dal, et d'Administrateur ch1 dio– cèse, à débourser annuellement citHf cents francs aux Chanoines de N. S., pour le directeur du séminaire et le professeur de Théologie. Ces cours furent organisés en t7W, mais le tout i1e fut définitivement réglé qne par acte du tl septembre 1711. Le système d'instrnction ainsi complété, J~ Collég·e atteignait clJaqne jour un notrn:eau degré de prospérité. Ce qui semble Je prouver ' c'est la confiance des parents·, eest J:enr empres:sernent à confier leurs enfants à ces maîtres. Un état des revenus du Collége, pré– senté à l'administration 1rnr les Chanoines de N. S., mentionne l'offrande en dre faite le jour de Saint Nicolas, par trois cents et plus d'élèves. I,es études, an moins en ce qui concerne la la langue lati-nc , Je cédaient pen à ceJles de fjnelqnes époques i)Qstérieures. C'est ce qu'on peut conjecturer d ' un programme de cinquième, pour l'année scofastique 1740-41 (12). Vers la J-nème époque, en t712 environ,! 'église du Col– Jége fut f'mbellie des stalles,. et du maître-autel remarquable par sa grandeur et par la richesse de ses dorures. !il paraît que tontes ces améliorations, ces rtfforts. et ces succès auraient dû concilier au Collége et à ses professeurs toutes les sympa– pathies; il n'en fut pas ainsi. Le roi Victor– Amédée II avait créé, pour rendre les études l:miformes, l'excellentissime magistrat de la r.éformc , composée d'un grand-chancelier :i: da
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