BASA

- :-li - •< ne me reste plus qu 'à répondre aux motifs « de sa dernière lettre <lu 24 février dernier « touchant ce prétendu droit de visite, ce que (< je fera i en peu de mots pour ne pas abuser « plus lon g-temps de sa patience. Le principal « de ces motifs est tiré de la Bulle de fonda– « tion, dans laquelle V. E. veut que le Pape « ait réglé Ja même administration pour les << classes y nommées, et pour celles qui seraiPnt « fondées dans la suite, sans en excepter la « Théologie. Je conviens c1ue cette interpréta– « tion pourrnit avoir lieu à l' égard d'une Théo– H logie f}ui a urait été fondée pour être unie « au Collége , et pour Ja perfection du Collége; « mais il ne paraît pas qu'on puisse en faire « l'application à la Théologie dont il s'agit, qui « a été établie pour la perfection du Séminaire, « et qui ne l 'a pas même été à titre de fon– H dation, pour subsister d'une manière fixe et H perman ente, mais à titre de simple conven– « tion qui laisse aux Evêques le pouvoir d ' en f< changer les Professeurs, de la transférer, et H même de Ja supprimer , s'ils le jugent à H propos, comme il résulte du contrat de 1707; << outre que cette Bulle réserve à tous égards u les décrets du saint Concile de Trente, et « par conséquent celui qui donne aux Évêques « l'Administration de leur séminaire, et de tont H ce <]UÎ en dépend. Pour ce qui est des autres << motifs que V. li. ajoute à ce premier, je crois (t y avoir répondu dans ma précédente lettre

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