BASA
- 5~ - 1500 francs. Ils laissaient d'ailleurs au Collége beaucoup d'immeubles et de meubles qu ' ils avaient acquis eux-mêmes, depuis t64i, tandis que le mobilier qu'ils avaient trouvé, lors de leur entrée' n'excédait pas la valeur de rno frs. Cette Congrégation qui avait cessé d'exister en !<'rance depuis bien des années, y a été rétablie par un indult àe S. S. Pie IX, en date du 23 juillet de l'an 1854. Déjà elle a une maison et un noviciat à Benoîte-Vaux, audio– cèse de Verdun, dans la Lorraine. Le Père Vautrot en est actuellement le Supérieur -x-. Immédiatement après le départ des Chanoines de N. S. on nomma provisoirement des régents, pour continuer l'enseignement jusqu'aux va– cances d 'automne. On leur alloua vingt-cinq francs par mois, avec le logement et la pension. A. U C:OLLÉGE D'A..OSTEe Les Chanoines de Notre Sauveur n ' étaient pas encore congédiés que déjà Charles-Emma– nuel avait fait demander les Barnabites, ou * Il existe maintenant encore, au témoignage du P. Vautro t à Vic, pctile ville près de Nancy, en France; un précieux ma– nuscrit pour l'histoire de notre Collége. Il renferme plusieurs lellres des Chanoines de N. S. résidants en l'rance , à ceux
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