BASA

XVI Les heureux coll ègues de M. le Chev . Aubert ne font d'aill eurs qu'épro uv~r les se ntiments qui ::ivai ent ému le jeune el noble cœur de S. .A. R. le Duc d'Aoste. En effe t , aussitôt qu' il eut pris connai ssance de ce t ouvrage, il s'empressa d' adresser à son auteur la lettre suivante cfans laquelle il lui exprime, avec les termes les plus fl atteurs, la satisfacli on que lui procure ce lte intéressante production . Monlcalier, 1.1j anvier1 8G\ . Monsi eur le CheYalir- r , Vous ne pouviez rien m' offrir de plus agréabl e que volre travail sur la Vallée d'Aoste. J'aï' parcourû celte pittoresque Va llée où vr ai ment on ne peut faire un pas sans renconlrer une mervei lle de la nature, ou quelques souvenirs. Le peuple qui l'habite n'es t pas moi ns intéressant ; aussi je me suis pris l pour elle d'nn amour tout particulier. · Bien que je ne sois pas à même, .monsieur, d' ap– préeie r tout le mBI'il.e d1~ votre ouvrage, toutefoi s je pui s eon-iparer vos lrnlles pages et vos magnifiques gravures avec mes souvenirs <rue j' y retroüve fa ci– lement. An resl.e, un juge bien compétent l'a trou\ 1 é irré– procht.Jblc et pour la forme et pour le fond. ~{c sach ant que vous ofüir en retour d'un don de ceUe :nature, j 1~ rn e. sui s adressé au Roi , ·qui m ·a chargé de Yo11s reme ttre la croi x de chevalier de l'ordre des SS. ~burice e l Lazare . Veuill ez l'agréer

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