BASA

,XIX Gênes ù travers les Alpes raccourcirnil de H4 kilo· mètres la distance qui les sépare. On écoute en suite avec atten1lrissement les paroles de M. le Ch. Fenoi!, qni retrace dans de belles pages les commencements d'une vie éteinte inopin<"-nent quand elle brillait du plus vi f éclat. L'auteur parle , d'un membre distingué du clergé valdôtain et de la Société académique, de .M. le Ch. Bal. que la mort nous a ra vis en 1858. Il r appelle les soins dont fut environnée l'éducation du jeune élève des Jésu ites. ~es progrès, les qualités de son esprit et de son cœ.ur; son entrée au séminaire, les heureux com– mencements de sa carrière sacerdotale; sa sagesse et son habileté dans la direction secondaire du Petit Séminaire; l'éclal de son talent dans la chaire des Humanités au collège d'Aoste; l'accueil favorab le que le public donna à sa nomination de chanoiile dans la Collégiale de St--Ours, quoiqu'i l n'eut e ncore que vingt-sep t ans. L'inté ressant biographe promet de continuer pro– chainement le r écit de ses précieux souvenirs au :Sujet de son anc·e n collègue. Séance du 19 jitùi 1861 Le secrétaire est heureux de faire en tendre aux membres réunis de la Société, les premiers chants d'un nouveau poème sorti de la plume de M. le Ch. Gerard. 'foule rassemblée écoute avec empressement .une lecture qui est l'hommage de la reconna issa nce ·publique du pays à M. le chev. Aubert. Le poète a eu l'idée ingénieuse de mettre la Vallée d'Aoste sur

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