BASA

XX la scène, pour en étaler les b<~autés el les riches5es, en faisant raconter tour ù tour à chaqne paroisse ce qu'ell e a de plus intéressan t dans son h istoire et en décrivan t les productions et les monuments re rna rqua,– bles que l'on y re ncontre. C'est un drame où Pont– St-Martin, au fond de la Vallée , commence à pm'ler, r Hospice du Petit-St-Bernard, au sommet~ lui répond, et ainsi cle suite apparaissent toutes les autres paroisses jusqu'à ce que la Ville et le Bourg de St-Ours se trou– vant en présence, finissent var s'accorder et pr1r bénir M. le chev. Aubert du zèle qu'il a mis à las faire connaître. Dès les premiers- vers on admire l'étonnante faci~ lité de l'auteur, et, à mesure qu'il déroule sa pro– sopopée, on ne sait que le féliciter d'un plan si gran– diose et de sa fidél ité historique et topographique; on ne sait qu'applaudir aux victoires qu'il remporte sur les difficultés d'un pareil sujet, et surtout on .iouit de passer d'un théàtre à un autre par des transitions toujours naturelles , heureuses et souvent ina ttendues. Toul le monde pense , nous l'espérons, comme les collègues de fit Gerard, et s'estimera heureux d' avoir rencontré dans, .M. le curé de St-Jean un cœur et une plume capables de répondre ainsi à la science et au talent de notre nouvea.u concitoyen, M. le chev. Aubert. A la fin de la f.êan ce .l\I. le prési dent offre ù la Société académique un témoignage èclalant de la haute estime de~ NI. le chev. Henri d'Emarèse. C'est un magniiique album où Je. noble voyageur a déposé ses recherches et ses rô !k:dons sur les Pyramides tl"Egypte: un monuinen1 de sen intrlipidité , de ses eon-

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