BASA

lien, Bibliuym/f,a Lapirla-rfo Patt'ia di Yernazzo , d'abord après la préface: Sc noi la sola RoMrn eccet– luar vo1Temo da verun altra città d'Italia m-onmnènti più cospicll'i di quelli di A.osta, non ci vengono in– f'alliùilrnente rappresenlati. Il faudrait faire précéder ce que je vais dire _sur les monuments romains, d'un aperçu sur les Salasses, premiers hahilanls connus de celle Vallée, après le déluge. L'historien et géographe Strabon ( De si lu orbis, lib. IV ) , dit et répète qu'ils étaient puissants, 13otentes tamen erant. Ils Liment en effet longtemps en échec les vainqueurs du monde qui payèrent de la vie de dix mille soldats le premier essai qu'ils firent de leur force, sous le consulat d'Appius Claudius et de Publius .Metellus, l' an 143 avant l' ère cllrélienno. C'est qu'à défaut de nombre, los Salasses avaient leurs rnontagnes pour citade!les. Sur ces éminences ils avaient leurs meurlrières d'où ils roulaient des blocs de pi1.:1-rc sur les légions ro– maines obl igées de défiler en plusieurs endroits par des sentiers élroits , bordés d'un côté par les monts et do l'autre par la Doire. Ces celtes ou habitants des montagnes ne man· CJlrnient pas d'autres armes, car ils connaissaient la métallurgie, et savaient exploiter les minières d'or qui fai saient la convoilise des Romains . L'avocat Nicolas Bergier dit dans so n hi stoire des grands cheinins <le l'empire (Liv. 6, ch. 28, IL 5 ), en par– Jant des Salasses surto nt : << C'est merveille que leo « Romains eu:;;sent déjà dompté les nations les p]uï;: • reculées de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique , " et que qu~r:rnte ou cinquante petites nations qui