BASA

-6- « habitaient ces montagnes eL étaient aux porLes ùc " Home ( s'il faul dire ainsi ), osassent mol<~sler, et " se prendre par escarmouches à un peuple si " pui ssant. Il · semble que ces gens qui n'avaient " confiance qu 'en leurs roches inaccessibles, fu s– " sent réservés pour dernière conquête des H.omains, " cl ne du ssent être subjugués et mis à la raison " que par Auguste , lorsqu'il serait à la fl eur de sa " lionne fortun e.. .... .. " L'hislorien ajoute : " EL d' autant plus que c'était " principalement la tl ifftculté des chemins qui rc- " lranchait l'espérance d'en venir à bout. ..... ... cela " donna occasion à César Auguste de mcllrc ses " gens après ces rochers pour les ouvrir... .. . cc qui " n'était pas une petite entreprise , ni d'un prince " médiocre en puissance ; mais plutôl ouvrages de "·géants, où il fallait faire violence ù la nature, " rompant ces grands rochers qui s'oppos:ricnt ù " leur drnite route, ou biniser quelquefois lorsque « · CfUelqne pierre trop YnSlC OH quelque profon d " abime st~ présentait à eux. » Il cite ensuite le géo– graphe Strabon qui parle de l'ouverture de nos rou– les par Ang 11 st.e ( Liv. 1.0 ) : Au,qnstus qitantum licu,it 'niarum apparalmn apposnù ..... Quel est l'observateur (~[range r et. m i:~ mc indigène qui puisse se lasser d'admirer ('es immenses travaux? Que d' effor ts et de peines irn fallut-il pas aux Romains pour tailler ù pic la roche vive et dure, d'une haute ur prodi– gieuse et sur une auss i vaste échelle qu e nou s le Yoyons à Donnas , ù Pierre- Taillée el dans qu elq ues antres endroits il(~ la V;ill('•r? Le bnron de Malzen .f~il (](' i;1 rnrllc l;ii llt;<' ii Donnas : " Cri. ouv111gT

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