BASA

- :rn - profondeur où ellès se trouvaient paraissaient d'ail– leurs l'indiquer. Aux petites additions que :ic fi s à cet aperçu ar– chéologique avant de le livrer à la presse, je veux ajouter la citation du ·Mémoire sur les monnaies rles Salasses, que fit M. le Chevalier etc., De Long– périer , membre de l'institut de France, de la So– ciété Académique d'Aoste, etc., el qu 'il publia dans la Bevne nuniismatique de 1' an 186'1, nvec J a plan~ che représentant les monnaies. Elles sont d'or et d'un or très-pur et fort jaune, de la dimension ap– proximative d'une pièce de 20 francs, ma is plus épaisses, un peu convexes d'un côté el concaves de l' autre, avec des emblêmes en relief, et ordinai re– ment un nom du cô té concave: Les lettres nettes et bien saillantes se rapprochent de l'ancien alpha– bet latin, et surtout de l'élrusque . Sans vouloir décider, la langue me semble se rapprocher de 1' ancien grec; en effet, nous avons hérité dans les noms de lieux , en patois commun , surtout des montagnards , de bien des mots qui proviennent évi– demment du grec. M. Théodore Mommsen qui avait vu quelqu es-unes de ces monnaies dans le Valais, donl deux tromées sur le territoire d'Aoste, les attribua ~n 1835. aux Salasses. Dès lors on en découvrit plusitlurs dans cette Vallée en bêchant la terre. On m'en a encore cemmuniqué deux depui s la publication du Mémoire de M. De Longpérier, dont une a la dirnension environ d'une pièce de 4.0 franc s el qui fot dëconverte en tournant la terre du jardin de l'évêché d'Aoste. M. de Longpérier , M. Françoi s Rabut et autres aUestent

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