BASA

- !) - 11euses dan s lesqnelle s on les a trouvés, appartic11- 11 ent-clles réellement à la formation appelée dilu– vienne? Il répond affirmativement à ces deux questions, et il appuye son raisonnement sur les principes géolo– giques les plus avérés de nos jours, et surtout sur le Lérnoignage de plusieurs sa vants géologues anglais et français. · En terminant l' historique de celle découverte, notre célèbre compalriole soulève une question qui parait naturellement jaillir de l'exposé qu'il vient de faire sur les silex d'Abbeville; question tendant 3 nppuyer la thèse des jours génésiaques, telle qu'il l' a sou– tenue ces années derniôres, dans un mémoire lu par le secrétaire de noire Société, dans quefques unes de nos séances académiques. Voici, en résumé, ln conclusion de ce Pouveau mémoire : Pour ceux qui confondent le diluvium géologique avec le délu ge mosa'ique, celle découverte ne snurait les étonner. L' existence de l'homme anti· diluvien élant donnée, il est certain qu 'il avait dù fobriquer des outils pour les hesoins de sa consli– tulion physique comme pour ceux de su oalure in– tellectuelle el morale. l\Jais il en est autrement, à l'endroit des parti sans des époques géologiqu es . Classant le diluvium parmi les diverses forrnali ons qu 'ils prélendenl nnlérieures à la création de l'homme, ces instrument s, œuvre s de rnaio d' homme, décou– verls dans les profondeurs du globe, donnent un démenli formel c'i cet article de , leur foi sc ientifi qne. En effet, s i à l'encontre de celte imposs ibilité han-

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