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- 10 - tcment proclamée, on a trou vé des ft'!mo in s certains cl irrécusa bles de l' exi stence de l' homme <fan s IPs terrnins lerliairc s, n'es t-il pas éviclent qu ' il n' es t pns permis d'nffirmer qu 'il n' en re s te point dnns les ter– rains secondaires? Celle M· couverte don~ to11lcs le s conséc111ences ne sonl point encore dévoil ées, apparaît donc au poillt de vue des pnrtisans des périodes géologiqnes, comme un i;lrgument puissant contre ce sys tême, et un e nouvelle preuve en faveur des jours génésiaques. Le secrétaire commence ensuite la lecture d-'un nouvel ouvrage de M. le chevalier Aubert. Cet opus– cule, intitulé : L'empereur Honorius et le consul A– nicius Probus, est un mémoire inl éressnnt pom l'E– glise d'Aoste particulièrement; pui squ ' il s'occupe du beau dypliquc en ivoire, conservé dans le trésor de notre ca thédrale . C'ei;;t de plu s, une nouvelle preuve de l'a ffec tion que le sav::rnt hi storien et l'habile il– lu slralcur a vouée à notre pays. Séance clu 30 octobre ·I862. M. Jr, Pr(!s id ent s'empre sse d'offrir à l'admiration el ù la vive re connaissance de ses collèg11es, le ma– gnifique 011Ha gc de M. le chevalier Promi s sur les anlit]uilés d'Aos te. Une ndresse est volé~e immédia– tement à l'unaniniilé, pour remercier l'auteur de son riche présent, et le félicit er sur l' heureuse iss ue de ses travaux. Le8 membres rie ln Société qui peuvent c on lempl cr le s bell es pla1ld1es de l' Atlanle, où les monumcnl s anciens de noire cité renaissent ;1 vec

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