BASA
- rn - iles fêles qu e l' on devail chôm l' r en 130i , el q11i é~aicnl. nu nomb re cJ c 71 ; puis des jeùnc1' cl ab sti– nences il observer sou s iles peines sévères. Ce s re cherches servent fort bien à l'histoire r,c– clésias tiq11c d'un pays . Séan ces du 26 oclubre et d·u 27 novembre f 863. La prem iè re séance est occupée par la lecture que fait 1\1. Ir, chanoine Marquis d'un mémoire plein do faits édifianls cl de réflexions pieuses. L'auteur ra– corlle mod es tement les lrails principaux de la vie d' un vénérable barnabite mort vers le commencement de r:o1rc siècle, du Rd P. Favre de Cogne. Su nais: sauce en 1741, son éducation sous le toit paternel et au collége d'Aosle, ses travaux dans l'enseigne-. ment cl dans les missions, ~ · on zè le el ses vertus dans le ministère sacèrdotal, sa .sainte mort en 1802· d:rns sa patrie, font lour-ù-lour l'objet intéress:rnl de l'attention recueillie de l'assemblée. 1\J. Je Président ouvre la seconde séance en pré– sentant il l' examen de ses collègues, deux armes en bronze très-anciennes, trouvées dernièrement pn~s de Lydd es en Valais. li explique dans un rnémoire, son opinion sur ces mon11me1its. Selon l'<mJeur, cc cou– teau.-hâche el cet:e pointe de lance découverts par ha sard duns un tombeau, .pourraient indiquer le mo– nument d'un guerrier celte, à l'époq-0e dite du bronze. Mais np!·ès de nouvelles inl'el·malions, M. le Président pense avec M. le Curé de Lyddes, qu'il faul plutôt y reconnaître le sépulcre d·un sacrificateur. li ne re ste de l'homme qu ·un ti./Jia.
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=