BASA

-5- avait 11our but le soulageme nt des voyage urs pauvres et malaJes, qu'il deva it nourrir, loge r et faire tran s– porter à St-Remy ou à la Clusu, selon que ces voya– geurs voulaient passer au -delà des monls ou en revenaient. Comme celui de Fonteintes, il passa, en 1791 , entre les mains de l'adminislralion du séminaire , qui fil rebâtir la niaison où s'exerçait Fhospilalilé, que la commune d'Elroubles se chargea de continuer. Séances dit ! 2 fev1'ier, du 28 mars et dn 23 avril 1862. .M. le chanoine Laurent fait connrdlrc dans la pre– mière séance, par la lecture .d ' un petit mémoire , l' utilité do la betterave champêtre, comme plante fourragère . M. le chanoine Marguercllaz parle des hospices de Villeneuve et de Liverngnc, dont l'Mahlissement, comme celui de Lou s les aulres nombreux hospices de la Vallée d'Aos te, a été iuspiré par la charité chrétienne, pour Je soulage ment des voyageurs pau– vres ou malades, et• paraisse nt ainsi avoir élé les précurseurs de nos hotcllerics cl de nos hôpitaux modernes. . Dans la troisième s <'.~ ancc M. le Prieur el chevalier Gal, prés ident, offre aux mcrnbrcs réunis différente s semences de plantes exo tiq ues <Jlli lui 01ll été en– voyées par 1\1. le chevalier Barum , pour ex périence ù'acclimatalion. M. le chevalier Carlon se charge de semer le s diverses espèces d'abies (nigra - re9i11a Amalia el

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