BASA

-- 7 - vi e nn1~nl tloivcnl être ù jeun , cl revêtu s ct c l'aub e c l de l' étole, sous peine de '.W sob d'amende . M. le chan . Gorre t lit en s11i tc lïi istoire du monument é l 1~vé à l'occas ion de 13 f'oite de Ca lvin. Il parle donc de l'é rection de la Croi x-de-ville en 1541, de sa res tauration en !741, et enfin de son achèvemen t en 184f, el fait remarquer la souscription et Je con– co urs des deux autorités, ecclésiastique el civile, pour la fêle de l'inau guration de la dernière époque . .Da11 s la seconde séance 1\1. le chevalier Jans con– tinue à intéresse r la réunion par la lecture de son mémoire sur les synodes diocësains d'Aoste. Il rap– porte les décret s de Mgr Simon, el la il voi r que le baptême pa:· immersion se pratiquail ù Aoste, an commenccmenl du x1vmc siècl e, au moins le snmedi sa int et dnns la vigile de la Pentecô te. Besson men– tionne d:rns sa notice historique du diocèse d'Aoste , une grosse pierre creuse, placée à l'entrée de la . ca th édrnl e, qui serva it à l'admini stration de ce sa– crement. L'auteur aj(Jute qu 'aJ..1 xmme siècle (fin ) l'E– g,Ii se d'Aos te consorvait ericore l'u srige de donner aux enfants la sainle communion immédialemen t uprès le baptême. Enfin, il a prouvé qu'à Aoste , comme presque partout ailleurs, le baptistère était séparé de l'église cathédrale. Celui de nolre ville se trouv ait en effet, flans un e égli se dédiée à S. Jean, t1 in si que cela conste d'après les témoignages four– nis par M. le Président ; témoigna ges qui prouvent que outre la dédicace de la cathédrale, on en cé lé– brail une autre po"t1r l'égli se clc Saint-Jenn, le 28 octobre .

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