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-14 - merveilles de la créa ti on, ui à . entrer d:rns des dé– tail s sur les œuvres de chaqu e jour. Il lai sse dans J'ombre cc qui ne pourrait sa ti sfa ire qu 'une curiosité purement huma ine. C'est que son bul n'e st pas de transmettre à la postérité une cosmogonie complète et déve loppée, mais de rappeler el de graver dans ]es cœnrs, comme s111· la pi erre, le souven ir de la puissance créatrice . Voilà pourquoi il se ser Lde for– mul es découpées el fortemenl acce ntu érs, :::ti n de stéréotype'r sa pensée. L'inscription samaritaine es t donc un véritable monument élevé à la gl 1 oire dll Créa leur. Je crois avoir rempli ma tâche, en vous ayant présent é quelques co nsiMralion s sc ientifiqu es et lit– térnires sur le précieux - do curncnL oriental, qui es t venu enrichir le musée célèbre de M. le Président. Je voudrais bien enco re Jrnuv oir éta blir son an tiquit é par une démonstration victorieuse: mais c'esL là un e que ~ tion ardu e , 'qu'il m' esL imposs ibl e de résoudre, . faute de donné es positives qui pui ssen t sl'l'v ir de Jrnse à un jugemen t motivé. Toutefois , je dois vous signaler le faiL de la tradition loca le de la ville de Naplouse; à s'en tenir à ce témoi gna ge, qui nous est référé par M. Actis, l'in sc riplion l<lpidaire de Sieirn111 aurait Jéjà orné l' anc:en templ e élevé sous Alexan– dre-l e-Grand sur le mont Garizim, cl, lors de sa ruine, elle aurait été conservée el placée dnns le nouveau templ e bâti dans la vill e même dG Sichem, eù elle a été découverte; ce mou veme nt dat erait donc du 4me siècle avant !" ère chrétienne. Un autre fqit , digne de remarque , c'èst que celle même ins– criplion lapidaire a été achelée, celle année, par