BASA
fut smv1e de plusieurs autres, toutefois il ne consle que de la tenue de cinq. Les actes de ces synodes, sauf ceux dti quatri ème, ont été conservés en .enlier jusqu'à nos jours. Mgr Vercellin y louche à tous les points de la discipline ecclésiastique. On y remarque surtout des prescriptions relt1tives au jeùne et à lt1 prédicat~on durant le carême, ainsi qu'à la rési– dence des pasteurs el à la lecture des mauvais livres, prescriptions qui prouvent combien élt1il encore vive, à celle époque, la foi des âmes humblement soumi– ses aux règles sévères de l'antique piété. Comme il est question dans l'analyse de ces ordonnances de certaines peines loml>ées en désuétudes aujou1·– d'hui, l'auteur du mémoire · montre en passant que ces peines ne renfermaient rien qui ne fut très-moral et par là même digne de la sagesse de l'Eglise. Séance du 25 ai•ril 1866. M. le Président, au nom d'un mef!_1bre correspon– dant qui demande des informations sur un objet d'nr– chéologie, cngnge ses collègues à examiner s'il existe dans notre vallée des pierres branlantes, des autels, des tu1nuli, des chemins gaulois, deS mônuments dan8 le genre du cercle druidique si connu du Pelil-Saint– Rernnrd. M. Duc fait voir dans les nouvelles pages de la biographie de Mgr Vercellin, combien ce vénérable prélat était attaché au siége de S. Pierre, et à la discipline de l'église romaine. A ce sujet, i~ réfute deux assertions de M. De Tillier, historien d'ailleurs estimable sous plusieurs rnpporls, deux assertions
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