BASA
- Hl - bres fondateurs de la Société, qu'il accepte la dis– tinction inhérente ù la dignité épiscopale, puis il exprime le désir de voir conservé, Je plus longtemps possible, 1\1. le Chanoine Prieur Gal dans Je fauteuil qu'il occupe si dignement depuis plusieurs années. l\Ionseigneur ouvre ensuite la séance en donnant connaissance d'une lellre, écrite par le Chevalier Margotti, frère du célèbre journaliste de ce nom, et prie M. le Chanoine Duc, cure de St-Laurent, de ' 'ouloir répondre aux désirs du noble correspondant, c'esl·à·dirc de transmellre ù ce dernier des rensei– gnements sur les relations religieuses, politiques et littéraires, du diocèse d'Aoste avec le. St-Siége. M. Duc se charge de satisfaire à ces vœux cl en alle11- da11t continue à lire quelques pages de la vie dn Mgr Vcrcellin. Ces pages rappellent la_réforme intro· duite dans le couvent de St-Gilles à Verrès par Mgt· Madrus, évêque de Trente, de la maison de Challand, cl prévôt commandntaire de St-Gilles au XVII siècle; elles diseul surtout la part que prit à cet acle im– portant Mgr Vercellin. Le secrétaire donne connaissance d'une lcllre adres– sée par M. Sevez, professeur à l'école de chimie d'Aoste, à M. le Président de notre Sociétô. Celle lellre qu'accompagnent plusieurs exemplaires du journal de la Société centrale d'agriculture en Sa– voie, journal dirigé par M. Scvcz ' lui-même, témoi– gne tles bons sentiments qu'éprouve cc jeune et habile professeur à l'égnrd de la Société de S. Anselme. M. J'abbc\ Cavard constate que le ùrôme se/trader, dont il a été question dans la séance du 21 mars 1866, se lrouvc foq hicn du sol de notre vallée. 2
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