BASA

-4- religion , el les oùstacles opposés ù ses vœux par la tendresse paternelle. Malgré ses p1~ines intérieures, la pieuse aspirar.te conlinu·e à !·emplir ses jours de honnes œuvres pour obtenir la grâce qu'elle souhaite. Sa charité la fail surnommer la mère des pauvres. Enfin Lous les obstacles élanl écartés, elle entre chez Jes sœurs de la visitation en 1752, déjù ornée de vertus cl avancée clans la perfection. Séance lltt 26 avril. 1\1. le Chnnoine Chevnlier Gal, président. fa il con– naîlrn les désirs exprimés ;rn moins implicilemenl par l'Académie impériale de Snvoie el la Société Flo– rimontane, d" entrer en relations avec la Société de 8. Anselme. Il · propose en conséquence d'adresser ù ces deux sociélrs les statuts el les bulletins pu– bliés jusqu'ici pur la nôtre; toute l'assemblée s'em– presse d'accueillir celle propositi0n, el désire qu'elle soit réalisée au plus tôl en témoignage de sa recon– nnissance pour les vœux aussi honoraules qu'avan- . lageux qui lui ont été manifestés. Le biographe de Mgr Vercellin fait l'éloge du Vi– caire . capitulaire, le sié>ge vac:rnl, Rodolphe de Chnmviberl qui reçul le nouvel évêque d"Aosle ù son entrée dans celle ville, cl cile la lettre flatteuse que Mgr Vercellin adressa sui" le compte des valdôlnins ù Charles-_Emmanuel. Un des secrélaires lit ensuite les premières pages d'u-n mémoire Lrnnsmis ù la Société par M. le Doc– lelll' Ail lod, rnécleci n ord ina i rn de 1 'hôpi la 1 ma uricic n de notre ville . ·C'esl l'hi stoire ou l'apprécialion- d'une