BASA
-t> - silué à 8 kilorn. de Turin, néanmoins les conditions électriques de nolre atmosphère se ressenlirenl des influences de Ja mnladie qui régnait dans celle ville, el elles s'en ressentirent · bea ucoup plus que les ozo– noscopiq11es. Ce dûfout de fluide électrique ne saurait être allrilrné à une autre cau se , car les autres cir· conslances atmosph éri ques n'offraient rien de parti– culier durant les jours dont nous parlons. Quoiq11e dans les condition s normal es de l'atmosphère il ne • 1 manque pas de cas où l' éleclricilé fait défaul, néan- moins cela n'arrivfl que d'une mrnièrc passagère et jamais avec au ta nt de persistance que dans les jours cités plus haut. Quand ù l'ozone, nous ne devons pas dissimuler que nous l'avons observé dans les circonstances peu propices, non-se ul eme nt parce que les cariés étaient placées à une grande di sta nce de Turin, mais, encore parce qu'elles se trouvaient à une hauteur trop con– sidérable. Les observations de Rocchel el des autres ont fait voir que l'ozone , en géné ral , se produit avec d'nulant plus de constance qu e le point · d'obse rva– tion s'élève dnvanla ge au dess us du sol. D'ailleurs, nous avons seulement voulu rapporter Je fait observé, qui· nou s ::i paru di gne de considéra– tion el que l'on pourra njoul er à Lous ceux que les hommes versés dnns celle mati ère nous ont déjà four– nis; nous leur en laisso ns volontiers la ùi sc ussion, d'autant plus que nous ne sommes pàs encore trop persuadés soit dt) mode acluel d'observe r l'ozon e , soit des nombreuses influences el propriétés que l'on allribue à cet élément qui a été mesuré avant · d'a– voir élé bi en connu. Mais nous lrailrrpns de cello
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=