BASA
ainsi que toutes les autres de même na,ture, voulant que ce sceau soil considéré comme le propre sceau de plomb du pape. Cependant, l'évêque d'Aoste, dnns l'espace de trois mois , après la réception des premières lettres apostoliques qui porteraient l'em– preir'Jle de celle bulle de plomb, devra demander de nouvelles lettres, scellées de ce sceau, sur la grâce que le pape ,·enait de lui accorder. lII (Fig. 3- 4) La figure 5 représente un sceau de forme ovale pointu, en cire blanr.he , allaché pa1· une ficelle de chanvre à droite (soit à la gnuche du lecteur) d' an acte du ter avril 1311. Dans une niche ogivale, on voit un évêque revêtu de ses habits pontificaux.· Il est debout, la main levée pour bénir. Au dessus, on distingue le buste de la sie Vierge, tenant l'enf <i.nl Jésus enlre ses bras, dans une niche en forme de trèfle servant de couronnement à la niche qui abrite la statue de !"évêque. On lit à la lége nde: 71<- S... Eli... ICI DEI GRA EPI AUGUSTENSIS soit Sigillum Eimerici Dei gr~tia episcopi augustensis. Le second sceau (Fig. 4) est pendant au même acte, mais à la droite du premier, (soit à la droite du lecteur). Il est en cire blanche de forme ovale pointu. Sur son siége est assi s un personnage ceint d'une espèce de di.adème chargé de paillettes et descendant jusque sur les épaules. De la main droite il ti ent une fleur de lis; de la main gauche, deux· petites branches. Entre la fleur de lis el la tête de la statue on voit une cro ix à double traverse.
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