BASA

-G- 1;icurs, la dédicace de son livre à Mgt' Vercellin cl le Lémoignage de Benoît XIV, qui cite deux fois le P. Genan dans le lrnité célèbre de Canonizatione sanctoruni, tout se réunit pour faire croire à la bonne foi el à la véracité de cel -hislorien. Or, d'nprès ce biographe contempornin, Mgr Ver– cellin était dans sa vie privée, un modèle de modes– tie, d'économie, de chnrité, de mortification, lequel ne manquait pourtant pas de grandeur dans les oc– casions solennelles. Sérieux dans ses discours, il ngissait en père à l'égard de ses domestiques. D'une humeur toujours ,égale, travaillant sans relâche, il n'abandonnait ses occupations particulières que pour voler au chevet des malades, ou pour remplir les fonclions de la charge épiscopale. Un des secrétaires achève ensuite la lecture du mémoire de 1\1. Aillod, sur la renouée des oiseaux. L'historien du précieux végétal, expose dans ces dernières pages, sous forme .de conclusion, dans quelles maladies et dans quelles conditions, on doit recourir à l'emploi de ce simple et félicil~, en ter– minant, M. le Prieur Gal, président de la Société, d'avoir réveillé l'allenlion publique sur unf' plante si particuliè;·ement utile aux populations peu aisées de nos campagnes. La séance est close pat· l'élection de M. le Doc· leur Aillod, comme membre effectif résidant. Séance dit 27 juin. Après le~ préliminaires d'usage, la réunion écoule avec un intérêt toujours croissa11t le biogrnphc de