BASA

-8- M. le chanoine Berard se charge de les faire pré– céder d'une introduction explicative el de les livrer à l'impression le plus Lôl possible. Enfin on ~rocède à l'élection des candidats proposP,s dans la séance antérieure el M. l'abbé Guichardaz, Chevalier de l'ordre mauricien et Chapelain de S. M., déjà mem– bre correspondant, ainsi que le R. P. Montuoro re– ligieux Barnabite, professeur d'histoire au Collége, sont nommés membres effectifs résidants; Séance cltt 4 décembre 1868. Un des Secrétaires lit une lellre du T. R. P. Lau– rent, Président de la Société. Celle lcllre exprime les regrets que Je R. P. éprouve au moment de sortir de la Vallée et de se séparer pour quelque temps de ses collègncs. C'est un nouveau Lémoi· gnage de l'intérêt dont l'au teur est animé envers sa patrie, el envers la Société académique; il sera préc ieusement conservé avec les lettres dont elle se glorifie le plus. M. le chanoine Duc, Vicaire-Général, continue en– suite la lecture de la biographie de Mgr Vercellin. Il fait dans quelques pages le tableau de la vie religieuse au pays d'Aoste, sous l'épisco pnl du véné· rable pontife . La cité seule complait quatre monas– tères, non compris le Chapitre de l'insigne Collé– giale qui était encore soumis à celle époque aux règles de l'Institut de St-Augustin. C'élail 1° le cou– vent des Frères mineurs conventuels; 2° le monas– tère des Chanoinesses de Ste-Calherine; 5° le prieuré

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