BASA

grand nombre de maladies, soil daus Je règne ani– mal. soil dans le règne végétal qui sonl ducs il la présence de certains parasites, 11ers, fungus, zoophytes, sporules, telles qu,e l'oïdium, la gale, clc., el prolw– blemenl les fièvres paludéennes avec lesquelles le choléra paraîl être en communaulé d'origine. Quoiqu'il en soit, l'épidémie que nous venons de traverser a démontré que les causes qui diminuent la résistance vitale de noire organisme, les causes débilitantes, comme les ' fatigues, les excès, une nourriture insuffisante, les maladies antérieures, soul celles qui nous prédisposent Je plus sonvcnl ù r.es – sentir les effels de la cause inconnue du chol1ira. Elle a démontré, en outre, crue cc fléau est presque constamment précédé par un dérangement dans la santé, principalement par la diarrhée, cl que si nous ne tenons pas absolument à faire connaissance avec lui, nous n'avons pour ainsi dire, qu'ù proli!cr de cet averlis~•ement. Nous avions, en elfel, le plus sou– vent, uu moyen facile de prévenir les attaques de choléra; c'étaiL celui de surveiller cl de traiter .mé– thodiquement la dianhéc qui les précédail presque toujours; la guérison en était aussi cerlaine que celle du choléra confirmé étail'chanceuse. Je suis persundé que si toutes les personnes qui ont paye un tribut au fléau indien, avaient connu l'importance cp1'il y avait ù se traiter de leur diarrh ée dès le moment de son apparition, nous n'.aurions •ju'u11 petit nombre de victimes à déploi·er. ,.. J

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