BASA
- \) - de St-Jacquême; 4° le couvent des Cnpucins. Il y avait aussi à Aoste des Jésuites; mais ils ne for· maienl .pas de couvent. A Verrès florissail le Mo· nastère de St-Gilles. Après avoir indiqué les effets salutaires que pro– duisaient dans le ùiocrse ces maisons religieuses, M. Duc, fail observer que l'éducation de la jeunesse réclamant encore les services que rendaient déjà, en plusieurs endroits, différents ordres excités par le Concile de Trente, Mgr Vercellin réussit lJienlôl. à voir s'établir dans sa ville épiscopale, un couvent de Visilnndines, un autre de Chanoinesses de N.-D. et une communauté de Chanoines réguliers du St· Sauveur, tous voués à l'enrnignemenl du premier âge. C'est encore sous les auspices de cel évêque que Chatillon d'abord et l\forgex ensuite furent dolés d'un couvent de Capucins. Cet uperçu général est suivi de l'histoire détaillée de la fondation particulièrement remnrquahle du :Monastère de la Visitation, el celle histoire rappelle · naturellement les noms illustres des nobles ùernoi– selles de Châlclnrd el d'Avise, qui, les premières parmi les Valdôtaines, embrassèrnnl la nouvelle règle; el par dessus lo11t le nom vénéré de Madame Vaudan qui devait si puissamment contribuer à la fondation d'un monastère de Visit:rndines dans notre ville. 1\1. le chanoine Marguercllaz lit à son tour l' his· torique de l'hôpital qui existait jadis à Villenenve. Il dit sa fondation en 1325, son droit de patronat, ses revenus, son but, sa durée et l'exercice de sa charité envers les pauvres el les malades, iusque vers la fin du siècle dernier. époque où il y, eut
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=