BASA

- 1:) - Co fut Mgr Arduce, de Pont-St-Martin, qui érigea celui d'Etro11bles, près de 60 ans après la mol'l de Pierre, son prédécesseur. Dans son testament précité, Nicolas Richard donne quatre vingt livre.s de monnaie courante (octoaginta libras monetœ cursalis), pour l'apanage d'un prêtre qui célébrerait la messe dans le dit hôpital de Fon– tinles, si on pouvait y consacrer un autel; el si cet autel ne pouvait pas . ,'y faire, il lègue deux deniers au profit d'un chnpelain qui dirait ln messe ù celui des autels de la cathédrale d'Aoste, que lui ou so11 neveu le chanoine de Lausanne désignernil. Ce legs est imposé sur sa maison d'habilalion, sur une cui– sine allignë dn côté de la Tour neuve, el sur deux autres domiciles contigus nussi ù la maison qu'il habitait, nrnis du côté opposé. Ces deux derniers domiciles sont légués ensuite dans le même lcstn– rnent, avec le sol (cum fundamento), la cour et le jardi11, au dit hôpital de Fontintes, dont ln préexis– tence est confirmée ici par les co11l111s de cr- corps de maison, hypothéqué pour le legs de livres quatre vingt. Ces fins sont : 1. Le chemin public; 2. LES IHEl'iS DU !11Êt.!E HÔPITAL de Fonlintes; 3. Les uiens des Frioules, que possédait le testi.llcm; 4. Les murs de la Ville (1 ). Ce testament lègue aussi une livre de poivre ù (1) Le mrme les lament donn e les fins encore dPs deux do– nicil es unis à la maison d'habilalion, du côté oppo,;é à la Tour 1euve léguées a l'hôpital. Ce sont : ·J, Ll' S murs de la Ville ; ~ . Les biPns du vicomte; 3. la maison ~iluéc prè5 de la grande naison; 4. Le chemin public.