BASA

-18- n' était annuellement que ùe 140 à 150, selon les registres du recteur déjà nommé, chanoine Brnn, de 1725 ù 1762: mai s clic s'élevait bi en plus haut d 2: i:3 le s siècles précédents et lors des enquêtes faite s pa r le Vilrnillif d'Aoste D'Allery, qui s' était lran spor!é il SL-Rllémy le 31 aoùt 1701, el de là sur lé li(rn même de Fonlintes, deux témoins avancés en tige, parmi cenx qui furent interrngés, le notaire Figerod Bnrthélemy el Farinet Léonard feu Antoine du bourg de SL-Rhémy, portèrent celle moyenne de 400 ù 500 par année. Cet hôpital fut enfin réuni au séminairn d'Aoste, par décret de Mgr Solar du 1 septembre 1791, en– suite de billet royal 15 scplcmhre 1781, enregistré au sénat de Chambéry le 2 décembre suivant, après avoir eu encore l'avis du promoteur épiscopal (17 aoûl 1782); ùe l'avocat fiscal du duché d'Aoste et de l'avocat général de S. M. (14 février cl 12 juin 178?1). Qui plus est, l'Evèque ne voulut donner ce décret qu'après avoir fait droil aux réclamations ùe la corn· mu ne, el avoir accueilli toutes ses demandes, par l'abandon qu'il faisait, au profil d'icelle, de la mai– son que cet hôpital avail dès 1715 au Bourg de St– Rhérni, laquelle esl présentement encore la maison communale, sous le nom de la Mairie, cl de l'al– péagc on montagne à vaches, au lieu de Fontintes; ù condition pourtant que l'hospilalilé usitée conlinuernit à s'exercer: ce qui se fait aujourd'hui pur les soins des administrateurs de ce petit alpéagc. La série des divers recteurs de cet hôpital, dont j'ai retrouvé le nom, me donnera occasion <l'indir1uer