BASA

- 22 - sur les obligalions tl11 rccleur sc ion J' ancienne coutume, pour cc qui re ga rd e l' !Jospitalilé, Nicol<is répondit qu 'on nvaiL élé en usage, de donner l'h os– pilalilé depui s la St-Martin jusqu'au 1 cr dimanche t.le mai, el qn'on Je conlinuail encore alors: " qu 'on étail obligé de donner à tons les passa nts un e réfection de pain et de vin , cl aussi aux m;Hro– niers de Sl·Rh émy et d'Elroubles. tout es les foi s qu'ils arrivent pour ouvrir la route. El pour tont es ces dépenses le rect eur payait dix-huit sét icrs de blé el un muid de vin chaque année. ,, Cet acte de Tisile déclare que la chapell e menace ruine. - La l'isiére était encore recteur en 1639. 17° 1650 Pcnr.INOD est ùit avoir administré I'hôpi· Lai de Fonlintes immédiat ement avant M. Desfours·: d'après les notes de cc dern ier , il y esl dit médecin. Qu ' est-ce qui a pu ame– ner un médecin à la place du recteur de l'hôpital? Je ne m'explique pas cel énigme. Je m' imagine qu 'ù M. La Visi ère aura suc– cédé un Perrinod peul·êlrc, ou loul autre qui sera mort recteur de Fonlinles cl dont le médecin Perrinod aura été l'h•\ritier: que c'est ainsi de cc médecin q11c le recteur suivant aura été obligé de retirer les titres, papi ers , el exiger les comptes de celle maison hospitali ère. 18° 1653 R. DEsFouns JACQUES d'lnlroù fut pour\'u de ce bénéfice par bulles de Rome donn ées en 1655. Le vicaire G.-Loui s Desbernard lui en donn:1 l'in slilulion el le possessoire. Ce recteur s'employa avec zôle a11x intérêts du

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