BASA
- 25 - dit. hôpital • jusqu'à obtenir. en 167!), un moni– toire de la cour épiscopale pour en recouvrer les tilres el les avoirs. Ci lû à comparailre devant le Vibaillif pour répon dr e ù ses qu es tion s , el lui rendre compte de cet <~lablissernent, il protes ta cl fil op11os ilion il celle visite non eccl ésiastique, c' était en 1 170'1. Son rectoral dura jusq11'en 17,12, époque de sa mort, laissant à l'hôpital un legs de deux mille livres que ses frères cl héritiers payèrent à son successeur. Hl 0 1713. Il. ÛBEnT JEAN cl'Introd, chancelier et secrétaire épiscopal, recueille Je legs précité, av1~c lequel il achète, :in bourg de St-Rhémy, une mai son qu'il faiL restaurer cl meubler au profil et œuvrc de l'h ôpital de Fontintcs, donl il a élé rect eur jusqu'en 1717. 20° De 1717 ù 17G2 l'hôpital a pour rect eur le n. Sgr chan. de la cathédrale d'Aoste, Bnm-, MAnTJN, dont les regi stre s · nous ont donné la moyenne des voyageurs à celle époque. Il demandait en 1721, au Cornnrnndanl el aux Sgrs Commis du Duché, de faire réparer la chapelle de Fontintes qui avait été dégr:.idéc par les soldats cle la Garde cle Santé placée ld à. cause cln bruit cle la contagion. En 1724 il re çoit livres vingt-quatre de loyer dè la maison du bourg de Sl-Rhérny, or.cupée par ces mêmes soldats de la garde de Si:lnlé. Depuis quand celle station de soldats était· elle lil? Y aurnit-elle été envoyée en exécu– tion de l'arrêt du ma gistra l de sa nté, rési– dant à Turin, du mois de mai 1713. av.cc
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