BASA

- 47 - 17° R. 1~ Ennoo, bénéficier de la cathédrale. 174... 18° R. Sgr DE COLLONGE CLAUDE, ex chanoin e de la ca th éd ral e d'Aos te, chanoine de SL-Pierre de Genève, demeurant à Annecy, protonotaire aposlolique , docteur en th éo logie , 1756-64. 19° R. Sgr SAvom GERMAIN archidiacre dès 17G4 à son décès, le 51 octobre 1790. Comment cet hospi ce a-t·il pu traverser une série de cinq siècles? Grâce encore à la vigilance el aux soins que l'égli se, par ses évêq ues smtout, a tou– jours pour ces élablissemenls de charité. Aussi en parcourant les actes des visites pa storales de nos évêques, nous ren co ntrons partout des preuves de l'allenlion que ces œuvres pi es attiraienl de la part de ]'Ordinaire diocésain. Par exe mpl e, Mgr Georges de Saluces, f]Ui monta sur le siége épi scopal d'Aoste, après Mgr Ogger Morisel li , encourageait el excitait les fid èles à favoriser l'hôp it al d'Elroubles, par les indul ge nc es qu'il accordait à ses bienfaiteurs, renou– velant et confirmant celles déjà concédées par le cardinal De Challand. Mgr Vercellin, dans sa visile à Etroubl es, n'oublie pas en 1655 de porter un œit scrutaleur flan s son hôpital. Il examin e, il inlerroge si l'hosp it alit é y es t bi en et religi euseme nt observée. La personne, chargée par son rec teur de l'exerce r. assure il S. G. qu e les pauvres y sonl logés cl nourris se lon l' usage : Pauperes hospilantur et pascuntur ut ex solito. Ell e ajoute que ses ren tes 011 cens consi stent en lrenle·six sétiers de bl é, dont neuf étaient, ce lle année, là lai ssés pour salaire à l'hospi– talier. L'évêr1u e se plainl que les deux lits ne sonl