BASA

- 48 - pas lrop bien garnis cl que la maison menace ruine, el il prr.scrit d'y mellrc ordre de suite. Soixante quinze ans plus lard , Mgr D'Arvillars qui désigne cel hôpital d'Etroubles, sous l'invocation de Sle Ma– deleine et S. Nicolas, rappelle el décrit dans l'acte de sa 3me visite, le 1G juin 1708, les diverses obli· galions imposées pat· le fondnteur. En Je visitant, la '1 rn foi s, le 11 seplembre '1699, il s'était borné ù con– signer " qu'il s'était transporté Jusqu'aux domiciles ile l' hospilail qu'il avait trouvé en médiocre état , y ayant deux chambres et deux lits pour les pauvres. " Nous no connaissons pns quels furent les avoirs de cet hôpital :'1 toutes les époques de son existence. Si Mgt' Vcrcellin nous apprend que son revenu était de lrenle·six sôticrs de blé, en 1653, la variation n'a pas été depuis fi son désavantage, si vnriation il y a. Le dernier tableau fait en i 775, lui nltribue trente-huit séliers el soixanle·Lrois éminnux ùe seigle, ;ivcc cinq livres et demie en numérnire. tle rente :rnnuclle : el M. l'économe du séminairn, sous la ùale llu fO janvier 1795, dit qu'elle était alors de quaraute séliers el seize éminaux de seigle, avec livres onze; cinq sols de service el dix de Jllaùl, quoi– que dans les qunlre années. depuis son union nu séminaire, il n'eüt retiré que seize sétiers. Mais à quoi bon le dire de ces chiffres?... Saluons Etroubles, nl sans nous arrêter dans son ancien lazarcl, der– nière maison que nous trouvons à droite, à l'enlréo d11 pont, devenue ici, comme ù St·Rhérny, Ill caserne d'une station de douaniers, p<1ssons de l'<111lre côté de la vallée; el laissant couler ù notre gnuche la petilc ri\'ièrc , dite rL\rtannvnz. jnsqn'ù sa jonction att Blil·

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