BASA

- ;-)J - son recleur M. Chamonin. Cc reven u consistait prin– cipalement dans le produit , soit loyer des bien s fonds situés el réu11is aul o1 1r des domicil es du dil ex-hô– pital de la Cluse. Ce lle ferme, vendue en 1825 ù M. Cerborc Nicola s. es l cneorc présentement une des propriétt'.• s de ses liériliers. L' hospi ce en q11eslion avait sa cha pell e. sous le vocable de Ste-Maric el de St-Pantaléon, quoique communément, depuis bien longtemps au moins, elle ne figure que sous le titre du derni er saint. L'ac te en parchem in , re çu par Turumbertus de Chézalltl au moi s d' avril '1265, constate la don<1lion faite par le R. Jacques, curé de Gignod , ù la chapelle de Ste– lllarie el de St-Pantaléon de la Cluse d'un fi ef quïl tcnnil de Vuillermo d'Aoste. Un mémo ire de la chnn– celleric épiscopnle nous consigne que celle chnpellc avait dnns le Lemps son clocher avec deux cloches. Ce même curé de Gignod, R..Jncques, d'nprès le dossier imprimé d'un procès qui se fil sous le rec– teur Ribilel, aurait déjù donné dès '1259 divers biens ù l'élnblisscrnenl de la Cluse; mai s soit J' hopilal , so il sa chnpelle existaient nvnnl celle donation faite dan s le but el sous la condition 1° qu'il y eut assi– dùment un prêtre qui y célébrât tous les jours la messe et pri ùt pour le r~'pos de l'ùmo dn bienfai – teur cl de ses parents; 2° qu'on tînt chaque nuit une lnrnpe nllumée dans la chapelle; 5° encore , que cc bénéfice se rvirait do Litre cléri ca l au Sgr Pierre de la Chiriety. Le contexte du dossier préc ité ajoute que ce bénéfice n'ex ige pas la résid ence personnelle dn titulaire, el que J' hôpil<il se diri ge cl s'administre tl'ordinnire IHH' 1111 autre . Ce\!r, non exi ge nce ùe la

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=