BASA

- 52 - residcnce personnelle semble dire , ou que le rec teur éLaiL différent du clrnp elain qui deva it y demeurer habilu ellcrn enl, sc ion la condition apposée par le H. curé Jacque s en 1259, ou que ce l.egs él{Jil déj<'i perdu vers 1700, on qu'il élnit deve nu cad uc dès le commencemenl. « L'anliquité de l'h ôpital de la Cluse, conlinne le même écrit. se perd dans la nuit des temps. El ses biens jouissaient de l'exemption de toul impôt. " Cell e imn111nilé de l'hôp iL;il et de ses avoirs est men– tionn ée au ss i dans un mémoire prése nté par le sus– cité recteur Chamonin, qui rappelle que le s biens du dit hôpital ont toujours été considérés comme tels, qu'ils n'on t point été soumis aux charges des biens laïqu es jusqu' en 1784, par anêt de la royal e dél é– gation; que cet hôpilul élail un vrai bénéfice ecc lé– siasli,1ue, " el a toujours été conféré à des clercs, » prèlres , chanoines, ou à divers aulres ccclésiasti– » ques, constilués en dignité, el que jamais les laïques " ne se son t immi scés dans les élPcl io11 s ac ti ves 011 » passives des rec teurs d' icelui ; que depuis l'an 1409 " les officiaux el successivement le s ju ges tempo rels » de l'évêché ont conn u privati verncn l 3 tout juge " laïqu e, sa uf dans les cau ses possesso rinl cs, des • biens rn euranl de cet hôpit al, comme se prouve 11 par diverses se nten ces npprouvécs par les Vibaillifs i1 qui en ont ordonn é l'ex én1 lion ". Une Bull e donnée par le pape Benoit XI, le 26 septembre 1405, por te que l'ac te de fondation de l'hôpitnl ordonne qu 'i l serait conféré ù Li tre de hé· nôOc c perp étuel à des clercs séculi ers. A cette date du commencement du xve siècle , il

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