BASA

en était presque ùe l'hôpital de la Cluse , comme de celui du ·bourg de SL -1\hémy. li est dil dans l'acle de vi sile que fil M. l'archidiacre Jacquemin de la Crète en '141-1 : << La d1apelle el la maison de l'hôpital môme rncnace11l mine .... La ferme qu'il a sons la roule, el ce lle quïl pos sè de ù Chavony soul enlièremcnl dègra décs. Jj1sius NtJJella vadit arl rninam. » Celle vétusté de l'llù pi l;il cl de sa cha– pelle n'annonce-l clic pas ré ellement lem ancienneté? El d'autant plus q11 'o n avait entre les mains les lellres patentes de sa uve ga rde en parchemin, accor– dées ù cc refuge par S. A. S. le prin ce Amé IV en 1234, revêtue s eucore d11 scea u du Prin ce. Plus heureux que le bo11rg de SL-Rhémy, la Cl11se vil hienlôl son hôpital réparé; cl l'acte de visite de l'ar– chidiacre Pierre de Cill::irens (5 juillet '1436) porte qu'il n visité l'hôpil<il de la Cluse bien nécessaire el bien renté, avec sa chapelle de St-Pantaléon, ayant depui s lon gtemps pour rect eur R. Guillaume Pollerii. Aucune plainte ne s'y fait, aucune réparntio11 ne s'y indique. Ce ne sera que près de quatre siècles plus lard, en 1596 jeudi 29 ::wùl, que Mgr Fcrrerius nous constatera clans son acte de visite que celle 111aison de refuge avnil besoin de qu elques rèpara– lions. << Visitavit cubiculum prwi1e1"1tm in quo simt duo lecti et alia Œtli{tcia ipsiits lwspitalis quœ indigent in aliquot JHtrtibus reparatione >l . La mention qui se fait ici des deux lils pincés dan s ln chambre du dit 11ôpilnl, des tinée ù la réce p· lion des pauvres, nous fait co nnnîtrc que celle obli– gation de tenir deux lits ~1 la disposition des voyageurs 11 éccssile ux , élail comme la principale rtui élail con-

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