BASA

- li'2 - 28° 1750, 27 et 7.0 nvril, Mgr De Sales donne l'insli· tulion el le possessoire de ce mème héne– ficc ù n. Sgr archidiacre Ilonfl.ETTAZ NICOLAS. 2!) 0 17t15 JO février, l'évêque confère l'hôpital de la Cluse à R. Sgr cbanoine CHAMONIN J.·FnANÇOIS, qni en prend possession le 5 avril suivant. Ce ful le dernier; el après son décès, l\f. l'économe du séminaire, R. Perrod Alexis, relire les tilres el prend élat des avoirs de l'ex-hôpital de la Cluse, contradictoirement aux héritiers de M. Chamonin en 1806. Près de clore ce chapitre , j'exprime mon vif re– gret de ne pouvoir pas tracer Je nom du pieux fon– dateur qui, en éleYanl celte maison hospitalière de la Cluse, a prôparé une Sülll'Ce si féconde de secours, je ne dis pas très-utiles, mais souvent nécPssaircs et indispensables sur celle r(lute. Que ne puis·je, du moins, connnîlre approximali· vement le temps où il a vécu? Mais je n'aperçois aucun indice pour fixer mes conjectures, avant l'é· poque où le prince de l'auguste maison de Savoie, Amé IV, le prenail sous sn protection en 1234. Seu· Jemenl, si je mesure la distance de 1695, où l'acte de visite épiscopale nous le dit vresque détruit, pene destructitrn, jusqu"à sa reconstruction entre 1414 el 1450, je serais Len lé, faute d'autre renseignement, de conclure que sa première construction devrait êlre rec~ilée de 280 ~ 500 ans. et se reporter ainsi au commencemenl du XII siècle, vers 1'140 environ ..... El serait-il impossible que la Cluse eut eu un hos– pice d'une dalc :rn!èri curc ?..... Pourquoi nos nîeux