BASA

G?i - n' onl-ils pas su fouiller plus avant dans l' hisloirc des Lemps où vivnienl leurs ancêtres? Pourquoi n'onl· ils 1rns su trouver le moyen sûr de transmettre à Jeurs arrières enfants, tilnl d'événements, tanl de faits admirables, dans ces beaux jours où la piété conduisail à Rome, à travers 11os nlpes, un si grand nornlm~ de pèlerins de tout rang el du mérite le plus distingué? Avant de passer à ma seconde partie, soil aux hôpitaux que nolre pays avait ù' Aosle au Pelil· St-Bernard, je dois dé clare1· qu'il en est qui regar– dent la commune de Valpelline comme ayant eu un hospice ou hôpital au village d'Arliod. Celle paroisse jadis réunissait dans son sein tous ]es habitants dr,s deux vallées d'Ollomonl el d'Oyace– Bionaz, el son chef lieu était le point de réunion de l'une el de l'autre. Chacune d'elles a son passage dans le Vallai s en Suisse, la 1re par Bagnes; la 2de par Hérin: tous les deux étaient bien plus fréquentés que de nos jours, dans la belle saison. " Le corps » souverain du Vallais albergeait à perpétuité, le 23 » avril 1551, à la commune de Bagnes la montagne » de C1mnMONTANAZ, située sur les confins de Bagnes » el de Valpelline (par Ollomont ), el propriélé des » Valdôlains, sur l'expo~é que ce lieu étant ouvert " et offrant un libre passnge pour entrer dans le » Vnllais...... , il élnil de toute prudence de s'e11 » emparer; et la commune de Bagnes eul pour con– » diLion imposée de garder le dit passnge » Boccard histoire du Vallais, page 181. Le passage par Bionn, plus connu el plus usité,

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