BASA

- 22 - mendicilé. M. le Président et tous ses collègues sonL d'avis de souscrire à ce désir. Après celle lellre, il donne lecture de deux autres encore; la première de M. le Commandeur Vallauri, el la seconde de 1\1. le Professeur Caldcrini. Ces deux nouveaux collègues remercient la Société dans les termes les plus flalleurs, du diplôme de membres effectifs qu'ils viennent de recevoir. Un membre de l'assemblée fait obse1·ver qu'il serait fort à propos de recueillir dans une chronique locale, tous les faits contemporains les plus remar– quables qui ont eu et auront lieu dans la Vallée. :M. le chanoine Gorrel qui s'est occupé de ce travail jusqu'ici, exprime le désir de voir quoiqu'autre de ses collègues l'aider à le continuer. Par rapport au choléra, par exemple, il convien– drait d'avoir dans les archives un uarré scientifique des ravages qu'il a exercés dans le pays en 1867. Cc narré doit exister parmi les papiers du docteur Berola, on eng<igera M. le chevalier Giusta, à exa– miner ce travail el à le procurer à la Société, s'il Je juge convenable. On demande en outre s'il 11e conviendrait pas de fixer d'une' manière bien précise la place de chaque membre de la Société, dans les assemblées. Il est résolu qu'on numérotera les fauteuils el que chaque membre occupera celui que le degré d'ancienneté lui assignera. A propos du mot Valdigne, prononcé dans celte séance, et si souvent inteqHété par Vallis cligna, M. le chanoine Berard, pense qu'on doit chercher l'éty– mologie de cc no111, d"après l'expression du patois

RkJQdWJsaXNoZXIy NzY4MjI=