BASA

, ) so11 ahor d L1cilc ;'1 lo11s, d son ~ c C11 ei! des pl11~ s ym~ palhiq11e:.; ('! ) ; je ne dirai rien de la bonté de so11 carnr, de sa gén i" rosi lc) , de son dt~\·o uem c 1 1 l pour tout es le s infortunes cl 11otammcnl pour son pays cl ses compa!riolcs , to11j ours sùrs de tronvcr en lui 11n conscil!cr, 1111 pro!1•clcur, un :uni. Ce sont lù sans doute de beaux côtés , qui dcjù 11011 s rév èlen t 11ne nature exceplionnelle el riche. Cel ensernhl@ de rares mériks sufflr;iil pour placer u11 homme 1'll– dessus du v1il gairP. et le si gnaler ù l'adm irati on de ses conci!oyens. M::is lo ul Ps Cl'S choses onL Clé dit es el répélées p;i r les èc ii os de la presse dans les me il– leurs termes> el avec des clô velopi)Cmenls sur lesqu els il scraiL dilfü:ilc de renchérir. Nolls vou d ri ons vous montrer notre docteur sou~ 1111 autre aspecl, sous un aspccl q11i le grandira à vos yeux l'l l't'.)lèvera e1 1corc plus h:1ut dans vou·c esti111e. Nous nous proposons de l' étud ier dan s 1111 or dre d'id(~es plus nobl e et plus parfait. A l'excn1pl c des esprits les plus éminents dont s' honore l'huma– nité, il sut pre11d re loujours pour guides le s deux: phares que Dieu a donnés à l'homme potfl' le diriger au milieu des Lé nél> rc ux éc11e il s de celte vie et le co11d11irc ù sa fill, la r;i ison et la rév(~lali o 11; il fi t nrni'cli er de pair, dans ses affec ti ons et dans ses actes, la st: iencc cl la foi, c'cst-ù-dire , Me ss ieurs, que M. Ceri se a été un homme <le science cl un hom– me de foi, un savant distin gué et un ferme chrétien. (1) l\J. Cerise, clil 1111 de ses t1mis dans 1111 jounwl. étai t ch,1rmant. C'él ail le plus heureux mélange de la fi ne sse ilalienn r! cl de la \'ervc gauloise, gai, rian t, expansif, causeur aimable.