BASA

- rn - associntion se pro posnil dï1armoniscr cc qn 'o n ap· pelle les lib rrlés moderne s avec les c11,;eig11emcnls de l'Eglise, et de réconci li er ainsi, di snienl-ils, l' E– glise nvec la socié lé. C'él ni l une i!lu sio11, Messieurs, une errenr, non pas flans le se ns de !il vraie liberté dont l'Egli se cs l 12 mère e l l' in fa tigable, l'inlrt'•pide défen seu r, mais dan s le se 11 s d' un foux libéralisme qu 'o n lui donnait, el qu'un certain parl i i1vc11glô par l'orguei l s'obs tine à J11i donner encore a11jo1mi'hui. Mais celle illus ion, le hul q11i en élail l'objet, les efforls qu'ils fcsaicnl pom l'nllcindre ne révèle 11l pa s moin s dans ces grands esprits la s incérité de leur f'o i et la lounl~ lc am biti on de la commun iquer aux iHllrcs. Ces lenlalives !iarùics, ma is ll onoraliles par la pensée qui les in spirni l, '~cl!o11 ô rcn l el s',)vanonirc11l hicnlôl cornrnc des protlu d ions éph émôrcs c l sans cons i s lancc. L'Erc No uve 1 Le ccssn de pa r n il rc, l:rn lc d «i– bon nés, l' ;1s soc iulion se dissout, c l les rncrnbres se di spersèren t. Dans nos co11rscs up oslo li quc s, nous avons rencontré plu si eurs d'ent r' cux, C' l 11011s ilvons eu la joie de les trouver tous croyan!s si ncè res c l pr:.itiq11anl s. Quant iJU chef do l' rc olc, Io. doc teur Buchez, les journaux nous onl appris les se nlimrnls de rec:on – na issiJ111c affec tion que noire collègue •1va il con – servés po11r so n anci en maître, el avec q1 1el le ingé– ni euse c!1~ lical es:; c, il allait au secours rlc son infor– tune. Son amitié le suivi t au-de -lù du lr('•pas et voul11l lui pnye r un derni er lr iil ul ;1p rès s:i 1no rl. Décédé ù Hltodez, sa patr ie , muni lui aussi Llt•s sacrements

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